
Faire appel à un expert-comptable offre une expertise professionnelle dans la conformité réglementaire. Notre connaissance approfondie des lois fiscales permet une optimisation efficace de la charge fiscale. En fournissant des conseils stratégiques, nous aidons à améliorer la rentabilité et à prendre des décisions financières éclairées.
L’expert-comptable peut intervenir à toutes les tailles d’entreprises, ils proposent une grande diversité de missions pour des structures de toutes tailles et de tous secteurs. Ils apportent à leurs clients les solutions les plus adaptées en fonction des besoins spécifiques de chacun.
Faire appel à un expert-comptable vous permet de gagner en sérénité en assurant la conformité de votre comptabilité et de vos obligations fiscales. Il vous aide à optimiser vos finances, à éviter les erreurs coûteuses, et vous conseille sur des stratégies de gestion et de croissance. Cela vous permet aussi de gagner du temps pour vous concentrer sur le développement de votre entreprise.
Un comptable gère la saisie des écritures comptables, prépare les bilans et les comptes de résultats, mais n’a pas l’autorisation de certifier les comptes ou de conseiller sur des aspects fiscaux complexes. Un expert-comptable, en revanche, est un professionnel diplômé et agréé qui peut certifier les comptes, représenter l’entreprise auprès des autorités fiscales, et offrir des conseils stratégiques en matière fiscale, financière et de gestion.
La législation prévoit une durée de 6 ans pour une mission d’audit légal classique et de 3 ans pour une mission d’audit légal petite entreprise (ALPE).
L’expert-comptable aide à la préparation des états financiers et conseille ses clients.
Le commissaire aux comptes analyse les comptes pour obtenir l’assurance raisonnable qu’il n’y ait pas d’anomalie significative dans les comptes. Sa certification sécurise les tiers.
L’expert-comptable a un lien contractuel avec ses clients alors que le commissaire aux comptes exerce dans un cadre définit par les textes de loi.
Il est interdit au commissaire aux comptes de s’immiscer dans la gestion de ses clients. Pour autant, il est de son devoir d’émettre des recommandations en vue d’améliorer le fonctionnement interne de l’organisation contrôlée.
Le pilotage de la performance consiste à mesurer, évaluer et améliorer les résultats d’une entreprise. Il repose sur l’utilisation d’indicateurs clés de performance (KPI), de tableaux de bord, de rapports et d’outils d’analyse. Ces outils permettent de suivre l’évolution des performances, de repérer les écarts par rapport aux objectifs fixés et de mettre en place des actions correctives. Ainsi, le pilotage de la performance assure une surveillance continue des activités de l’entreprise, leur évaluation et leur ajustement afin d’atteindre les résultats visés.
Le pilotage permet d’avoir une vision claire de la situation financière et opérationnelle de votre entreprise. Il facilite la prise de décisions éclairées et vous aide à anticiper les risques, maximiser la rentabilité et optimiser les ressources, ce qui est essentiel pour garantir une croissance durable.
Oui, le pilotage d’entreprise est applicable à toutes les tailles d’entreprises, qu’il s’agisse de TPE, PME ou de grandes entreprises. Les outils et les méthodes sont adaptés à la taille et aux besoins spécifiques de chaque organisation.
Le délai doit être de 8 jours avant l’embauche et au plus tard avant la prise de poste.
Le salarié doit adresser à son employeur, dans les deux jours suivant l’interruption de son activité, son avis arrêt de travail – volet 3 – dument complété (les volets 1 et 2 doivent être adressés dans les meilleurs délais par le salarié à la CPAM dont il dépend).
Ce volet devra être transmis à votre gestionnaire de paie afin qu’il puisse adresser une attestation de salaire à la CPAM (paiement des indemnités journalières).
A noter : Dans le cas où l’arrêt serait supérieur à 60 jours, l’employeur devra organiser une visite de reprise auprès de la médecine du travail.
Le stagiaire doit avoir accès au restaurant d’entreprise ou aux titres-restaurant dans les mêmes conditions que les salariés.
Pour les frais de transport, l’employeur doit rembourser une part des frais de transport engagés par le stagiaire dans les mêmes conditions que le remboursement aux salariés.
Source : article L. 3261-2 du code du travail.
L’employeur doit organiser une VIP pour le salarié dans les 3 mois suivant la prise effective du poste de travail, sauf si ce dernier en a déjà bénéficié dans les 5 ans précédant son embauche pur un emploi identique et qu’il peut fournir un avis d’aptitude ou une attestation de suivi. Cette visite doit être renouvelée tous les 5 ans.
– Accroissement temporaire d’activité ;
– Remplacement d’une absence ;
– Emploi saisonnier ;
– CDD d’usage .
– CDD spéciaux (contrats de professionnalisation et d’apprentissage, CDD séniors, CDD d’insertion, etc).
– Démission ;
– Rupture conventionnelle ;
– Licenciements.
Il existe une prime dite « Prime de partage de la valeur (PPV) », elle est mise en place par le biais d’une décision unilatérale de l’employeur (DUE) ou un accord d’entreprise. Elle sera exonérée de l’ensemble des cotisations sociales pour les salariés qui ont une rémunération inférieure à 3 fois le SMIC annuel.
Il n’y a aucune forme juridique idéale dans l’absolu. La forme juridique la plus adaptée est à construire en fonction de votre projet, votre situation personnelle, vos souhaits d’intégration d’associés et de manière de vos perspectives de développement. Nous vous aidons à adopter le statut le plus adapté et le plus optimal grâce à notre savoir-faire démontré.
La création d’une société est simple si dès le départ, nous analysons vos besoins, votre situation personnelle et vos perspectives et si nous nous chargeons de toute la rédaction et de toutes les formalités. Et si vous aviez démarré sous un statut inadapté, nous pouvons vous aider à choisir et à adopter la meilleure structuration pour vous.
Chez Agori, nous avons adapté nos méthodes de travail et de communication aux besoins de réactivité et de proximité de chacun. Ainsi nous pouvons nous réunir et traiter vos opérations en présentiel, en visioconférence et même vous faire signer les documents par voie électronique.
Depuis la Loi Pacte et la mise en place d’un Guichet Unique par voie dématérialisée géré par l’INPI, les formalités sont de plus complexes et ne peuvent plus s’effectuer par voie papier. Nous nous chargeons d’effectuer les formalités pour vous permettre de vous concentrer sur vos activités.
Pour réussir votre négociation, faites signer un engagement de confidentialité à votre repreneur pour protéger les informations sensibles. Demandez-lui ensuite de confirmer son intérêt par écrit via une lettre d’intention.
Les points essentiels doivent être formalisés dans un protocole d’accord, à reprendre dans l’acte final de cession. Portez une attention particulière au prix de cession, au financement, à la trésorerie, aux comptes courants d’associés, à l’accompagnement du repreneur et aux garanties d’actif et de passif demandées.
La transmission d’entreprise désigne le processus de transfert de la propriété et du contrôle d’une entreprise d’un ou plusieurs actionnaires ou dirigeants vers une autre personne (souvent un repreneur ou un membre de la famille).